• CHRONIQUE CHILIENNE XVII

    — TARA ­—

    — la carte —

     

    CHRONIQUE CHILIENNE XVII

     

    Nous partons par la route 27 vers l’est et la frontière de l’Argentine. Il y a du soleil mais un vent glacial souffle violemment. Nous allons voir plusieurs lagunes très différentes, nous franchirons un col à 4820 m d’altitude (plus haut que Mont Blanc, c’est fou !). C’est au cours de cette excursion, avant d’arriver au salar de Tara, que nous aurons la sensation la plus vertigineuse de l’immensité de l’espace. Il me semble que c’est sur cette route qu’est marquée une borne frontière, bien avant la frontière. Pour parvenir au salar de Tara, nous quitterons la route pour une piste seule connue des chauffeurs, le plateau étant sillonné d’une multitude de traces des pneus.

    — Lagune de Quipiaco —

    Impossible de la situer sur la carte, comme les autres lagunes. Des sommets la surplombent. Des canards et des vigognes hantent ses berges.

     

     

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    — Lagune de Glace —

    De couleur vert bleuté. Très belle.

     

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    — la route —

     

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    — Le gardien —

    Un peu avant d’arriver au salar de Tara nous nous s’arrêtons pour saluer le gardien (29 m de haut). Sur la photo je crois avoir mélangé les formations rocheuses, ce qui n’est pas très grave.

     

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    — Le salar de Tara —

    Auparavant nous faisons une halte à la lagune de lait. C’est le borate qu’elle contient sans doute à une forte concentration qui lui donne cette aspect laiteux. Le plus fabuleux, cependant est bien le salar de Tara qui offre des nuances de couleurs pastels magnifiques.

     

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    — Les cathédrales de Tara —

    Surplombant un côté du salar, des formations rocheuses se découpent, érodées par le vent, dans lesquelles on peut imaginer des figures, comme des moines ou une tête d’aigle. Ce n’est pas ce que je préfère. La montée n’est pas difficile mais la faire à 4200 m d’altitude est un peu douloureux. Une préoccupation m’habite, trouver l’abri d’un de ces rochers pour un besoin pressant ...

     

     

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    — Près du refuge —

    Nous redescendons vers les rives du salar près du refuge, qu’on aperçoit en haut, à gauche, de la photo, pour un arrêt sandwich, vin rouge. Dans une grotte de la colline au-dessus s’est cachée une sorte de gros lapin à grande queue : un vizcacha.

     

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    — Les flamants roses —

    Les voilà, toujours aussi préoccupés par la recherche de leur nourriture ...

     

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